Je vous souhaite de joyeuses fêtes de fin d'année et vous rappelle que les mois passent vite et que les résolutions du 1er janvier doivent être à la hauteur : à chacun sa spécialité maintenant!
Grosses bises à vous six sans oublier la petite Marie.
mercredi 24 décembre 2008
samedi 20 décembre 2008
La NASA à mon secours...
Le Père Noël est passé en avance chez les Lobos... à moins que cela soit Saint-Nicolas afin de me restituer les précieuses secondes volées lors des foulées éponymes.
Petit rappel des faits : alors qu'Alan et moi même nous défiions du regard, nous étions loin de nous douter qu'une erreur de chronométrage au départ nous spolierait de plus d'une minute.
Après une grave dépression d'ALAN, qui tenta de se suicider en avalant ses gants aquatiques, il fallait réagir.
D'autant plus que la distance à la pépinière n'étant pas homologuée, difficile d'être certain des performances.
Finalement, la période de fin d'année est venu à mon secours:
La Loco peut désormais s'enorgueillir d'une montre GPS incorruptible.
Peu de sportifs aussi modestes se retrouvent ainsi avec un équipement digne de la NASA !
Pêle mêle : distance, calories, parcours préchargé, mode entraînement et résulats à partager en ligne....
CHAUD DEVANT!!!!
dimanche 14 décembre 2008
J'ai enfin compris pourquoi notre champion de natation ne progresse pas plus
Eh oui il en a assez qu'on l'appelle Alan Bernart alors qu'il se nomme Endolori DANSLEAU ... et dire que voilà plusieurs mois que nous entretenons cette confusion, nous sommes vraiment des minables.
Allez Endolori nous sommes fiers de Toi car en ce moment tu exploses les chronos .... mais j'espère que jusqu'au triathlon tu tiendras ce rythme car nous ne pouvons pas être dans la repentance tous les six mois!!!!
Alors vas y pour continuer à nous faire rêver, on t'embrasse.
Allez Endolori nous sommes fiers de Toi car en ce moment tu exploses les chronos .... mais j'espère que jusqu'au triathlon tu tiendras ce rythme car nous ne pouvons pas être dans la repentance tous les six mois!!!!
Alors vas y pour continuer à nous faire rêver, on t'embrasse.
jeudi 11 décembre 2008
La rançon de la gloire
En dépit de sa modestie légendaire, Bernarino n'a pu empêcher la parution du récit de ses exploits à Portofino sur le magazine italien Spirito Trail du mois de Novembre.
Allez le découvrir PAGE 16!
Bernarino, le couillon le plus discret... jusqu'à maintenant!
Allez le découvrir PAGE 16!
Bernarino, le couillon le plus discret... jusqu'à maintenant!
Il en manque toujours un
Les trois couillons ne sont jamais au complet. Ce fut une grande joie d'en voir deux hier mais le plus important était absent ... important car il est l'instigateur de ce terrible défi lancé un soir d'août dernier bien arrosé.
Malgré un rapide tour d'horizon hier, on n'arrive toujours pas à déterminer les rôles des trois couillons : Alan Bernart n'est pas sûr de quitter ses gants bleus pour nager dans le lac, le kényan blanc va-t-il courir plus vite que ses congénères et enfin Bernarino se décidera-t-il à pédaler avant le grand jour pour se remettre en jambes?
Beaucoup de réponses en suspens pour des relayeurs très soudés en amitié !
Malgré un rapide tour d'horizon hier, on n'arrive toujours pas à déterminer les rôles des trois couillons : Alan Bernart n'est pas sûr de quitter ses gants bleus pour nager dans le lac, le kényan blanc va-t-il courir plus vite que ses congénères et enfin Bernarino se décidera-t-il à pédaler avant le grand jour pour se remettre en jambes?
Beaucoup de réponses en suspens pour des relayeurs très soudés en amitié !
lundi 8 décembre 2008
Pendant 8h38...
...et 69 kilomètres, j'ai eu le temps de réfléchir sur mon avenir sportif.
Et au 57ème kilomètre, lorsque j'ai retrouvé Delphine au dernier ravitaillement, je lui ai fait part de mes conclusions avant même de terminer la Saintélyon. Voilà ce que ça donnait:
"Chérie, je vais la terminer cette p***** de course, mais dès que j'arrive, je fous le feu à mes chaussures et je ne ferais plus jamais de course à pied"
Je l'ai terminé comme vous pouvez le voir:
Et au 57ème kilomètre, lorsque j'ai retrouvé Delphine au dernier ravitaillement, je lui ai fait part de mes conclusions avant même de terminer la Saintélyon. Voilà ce que ça donnait:
"Chérie, je vais la terminer cette p***** de course, mais dès que j'arrive, je fous le feu à mes chaussures et je ne ferais plus jamais de course à pied"
Je l'ai terminé comme vous pouvez le voir:
Oui, mais voilà j'avais pas pensé à une chose : après 35 kms de gadoue, c'est impossible de cramer des chaussures tellement elles sont trempées... Je vous laisse le constater
En tout cas les z'amis, pour ce qui est du niveau de "couillonerie" je suis déjà au max!
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